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Un début d'année fébrile pour l'AMDEQ

Un début d'année fébrile pour l'AMDEQ

L’année est à peine commencée que déjà, l’AMDEQ est en action auprès des décideurs publics pour faire avancer les dossiers qui vous tiennent à cœur. 

Ainsi, il y a quelques semaines, nous avons rencontré le ministre délégué à l’Économie, Christopher Skeete, afin de lui faire part de nos recommandations visant à alléger le fardeau règlementaire des détaillants indépendants. La rencontre s’est tenue dans une ambiance positive et le ministre s’est montré sensible et ouvert aux points soulevés par l’AMDEQ. Nous avons convenu de demeurer en contact et de poursuivre notre collaboration en vue du dépôt, plus tard cette année, d’un projet de loi sur l’allégement réglementaire et administratif des entreprises. Un dossier à suivre de près!

On parle du budget du Québec

Au cours des prochaines semaines, nous comptons également soumettre un mémoire dans le cadre des consultations prébudgétaires menées par le ministère des Finances, afin de présenter les priorités de notre secteur pour l'année à venir. L'AMDEQ compte ainsi proposer au gouvernement différentes mesures visant à donner aux dépanneurs et aux épiciers indépendants davantage de flexibilité sur les boissons alcooliques pouvant être offertes en établissement, plus particulièrement pour les produits brassicoles et vinicoles québécois. 

On s’occupe de la consigne et des dossiers liés à l’alcool

Des ajustements à certaines mesures prévues pour le déploiement de la réforme de la consigne, qui a fait beaucoup de bruit récemment, seront également proposés. Nous comptons également insister sur l’importance de maintenir le fragile équilibre qui existe entre les détenteurs d’un permis de restauration et les détenteurs d’un permis d’épicerie en matière de vente d’alcool. Selon nous, il est inadmissible qu’un restaurateur mal intentionné puisse contourner la réglementation pour offrir la livraison d’alcool en quantité massive, sans égard à la nourriture livrée, comme on l’a d’ailleurs vu dernièrement. La RACJ doit avoir le cadre nécessaire pour intervenir efficacement auprès de ces délinquants lorsque nécessaire.

Nous continuerons évidemment de suivre avec attention, et en votre nom, tous les développements d’intérêts pour les dépanneurs et épiciers indépendants, notamment le transport et la vente d’alcool et des différents produits du tabac.

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